Un ami envoyait des devoirs au format .doc par Gmail, à son professeur. La réponse ne s'est pas faite attendre, car l'enseignant se plaignait de ne pas pouvoir retoucher ni corriger le document. Je viens aider mon ami à comprendre la raison du problème, tout en la voyant arriver de loin.

Vérification faite : le fichier n'est pas en lecture seule. Maintenant, la difficulté réside dans la subtilité à faire remarquer au professeur qu'il doit enregistrer le document, et non l'ouvrir via Google Documents, sans le vexer. PEBKAC.

J'ai envoyé un e-mail à une boutique pour une histoire de remboursement. N'ayant aucune nouvelle, je leur téléphone :
- Ah non... On n'a rien reçu depuis l'adresse que vous indiquez.
- Bon, je vous le renvoie alors... Voilà, vous l'avez reçu ?
- Ah, oui ! Bah, on vient de recevoir aussi le précédent du coup.
- (Sur le ton de la blague) Ah, la boîte aux lettres doit être pleine... Il a fallu pousser un peu pour que ça rentre !
- Hum... Mais c'est bizarre, pourtant j'ai supprimé beaucoup de messages hier...
PEBKAC.

Quelques temps après avoir acheté mon ordinateur portable, j'ai commencé à avoir de gros soucis de déconnexion de l'écran. C'était apparemment un problème récurrent pour ce modèle, et je décide de faire jouer la garantie.

Après trois mois (sic), je récupère l'ordinateur couvert de crasse, et avec encore plus de problèmes qu'avant. Retour au service après-vente, où il croupira cette fois pendant quatre mois (!).
Je finis par retrouver mon ordinateur, accompagné d'une facture salée pour le remplacement des pièces : en effet, le contrat de la garantie ne couvrait pas les accidents ménagers, et le technicien m'accusait d'avoir versé un verre d'eau sur le clavier car les circuits étaient couverts de rouille.
Après plusieurs semaines de bataille, j'ai fini par les menacer de faire venir un expert pour constater que l'humidité de leur entrepôt en était responsable. La semaine suivante, on m'a remis un ordinateur flambant neuf.
Je pense pouvoir appeler ça un... PEBKAC.

Après des mois passés à tenter de l'en convaincre, mon père accepte enfin de bazarder sa vieille machine inutilisable, pour un PC dernier cri. Une fois les pièces achetées et l'ordinateur assemblé, je m'empresse de le tester en installant mon jeu favori et en mettant les configurations au maximum, quand mon père m'interrompt : "Ah non alors, tu ne vas pas mettre ton jeu bourré de virus sur celui-ci aussi, alors que tu m'as flingué l'autre !".

J'ai donc hérité du vieux PC, que j'ai formaté pour pouvoir installer mon "jeu bourré de virus", tandis que mon père installe ses quatre antivirus sur l'autre. PEBKAC.