Hier au boulot, je suis en charge de la mise en place d'un outil sur une version « récente » d'Outlook : nous passons de 2003 à 2010.
Une demi-heure au téléphone avec l'utilisateur, que j'ai renvoyé vers le service informatique, j'ai pris la main sur son écran, contacté l'éditeur du logiciel à Chicago, alerté ma hiérarchie, lancé une machine virtuelle en 32 bits, un poste en 64 bits pour faire fonctionner le « truc », sans succès. Peine perdue, ça marchera pas sur notre environnement.
Quoique... Si on lance le plugin avant de lancer Outlook, ça fonctionne correctement.
Celle là, encore une fois, elle est pour moi. PEBKAC.
Il y a quelques temps, mon premier job dans une startup IT. Intégrant des données, ma souris se met soudain à ne plus répondre correctement. Les mouvements sont saccadés, elle bouge quand ma main est immobile : aucun doute, je lance : "On m'a hacké ma souris !".
Je regrette vraiment d'avoir dit ça à voix haute. Au final, il y avait juste une poussière devant le capteur optique. PEBKAC.
Je commence un nouveau contrat dans une grande SSII parisienne. À la machine à café, on me questionne sur ma visite chez l'équipe de développement un peu plus tôt, installée dans d'autres locaux. Je raconte que l'un des développeurs utilisait un clavier BEPO, gage d'une motivation certaine.
Un collègue demande : "Un clavier quoi ?", et l'autre de lui répondre : "Bah tu sais, pour ne pas se fatiguer les doigts, un clavier séparé en deux parties et arrondi, pour que ça soit ergonomique".
Quand on ne sait pas, on se tait. PEBKAC.
page 1/1