Récemment, une amie dont le chargeur de l'ordinateur avait rendu l'âme était allée dans un magasin de bureautique. Un vendeur lui a expliqué que les chargeurs génériques ne fonctionneraient pas puisque l'ordinateur « reconnaît la marque du chargeur grâce à une puce dans le boîtier ».
Après investigation sur son ordinateur, un Dell sous Windows Vista avec trois antivirus et Internet Explorer comme unique navigateur, je me suis finalement rendue compte qu'en fait l'ordinateur ne reconnaît que la puissance même du chargeur, et avertit qu'en dessous d'une certaine puissance, il ne se rechargeait pas, qu'importe la marque. Il suffisait de lire un message d'erreur pour le savoir. PEBKAC.
Voilà déjà plusieurs fois que mon père, qui possède un ordinateur depuis au moins six ou sept ans, me fait le coup : il ouvre une fenêtre, déplace tout doucement son curseur vers la croix pour fermer, attend une seconde, clique, puis se plaint que la fenêtre disparaisse. PEBKAC.
Quand j'étais petite, j'avais trouvé sur un site les paroles de « All Along the Watchtower ». Voulant faire plaisir à mon père, fan de Jimi Hendrix, je lui avais envoyé le lien vers les paroles.
Il est devenu furieux, persuadé que les paroles étaient payantes, et m'avait fait comprendre que si la facture téléphone faisait état d'un hors forfait, je passerais un sale quart d'heure. PEBKAC.
À ma fac, il faut passer par un portail spécifique pour se connecter au réseau Wi-Fi.
Si on a le malheur de se tromper au premier essai identifiant/mot de passe, on est redirigé vers le même formulaire, mais même en entrant la bonne combinaison par la suite, l'accès sera toujours refusé.
Finalement je me suis rendue compte que la page était toujours redirigée vers la page d'accès refusé, comme si l'on tapait F5, alors qu'on entre une combinaison valide et qu'on clique sur "Connecter"… Il faut dans ce cas entrer l'adresse d'accueil du portail pour pouvoir re-re-retaper ses identifiants. PEBKAC.
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