Une utilisatrice, m'appelle pour dépanner son imprimante. Elle me dit que l'imprimante fumait et crachait une fumée noire. Très étonné, je lui demande ce qu'elle avait bien pu faire pour que ça arrive.
Et elle me dit tout bêtement qu'elle avait voulu « imprimer sur des feuilles plastiques »… et bien sûr, ce sont des imprimantes thermiques, pas du tout conçues pour ce genre de feuilles.
Quand je suis arrivé le plastique dégoulinait de tous les côtés, et elle ne comprenait pas pourquoi l'imprimante ne fonctionnait plus. PEBKAC.
Une utilisatrice, responsable d'agence (qui pète plus haut que son c*l), ne veut plus qu'on la contacte sur son téléphone portable, alors qu'elle n'a plus de téléphone fixe dans son agence. Et me dit que je dois me débrouiller pour la recontacter après mes tests, et me balance que je n'ai qu'à « lui faire des signaux de fumée »… PEBKAC.
Un utilisateur me contacte pour un problème bureautique, je ne peux lui résoudre à distance et je transfère aux niveaux 2. Il était 10h30 environ.
À 15 heures, il rappelle et tombe sur moi par hasard. Il m'indique que le niveau 2 n'a pas réussi à le joindre. Je lui demande le numéro de l'incident, et il me donne le numéro de ticket du niveau 2 (qui est différent), et m'indique qu'il n'a que celui-ci.
Je perds dix minutes à tout ouvrir, et ceci fait je m'aperçois que c'est moi qui lui ait ouvert le dossier. Je lui demande une fois de plus s'il a le numéro de ticket, et me soutient que non.
Je lui indique le numéro, et c'est maintenant à son tour de perdre dix minutes pour ouvrir Outlook. Et là, surprise, l'e-mail était la, avec le bon numéro.
Ils nous aura fait perdre, à tous les deux, beaucoup de temps par simple fainéantise. PEBKAC.