J'avais récemment fourni à un ami le mot de passe pour se connecter à ma borne Wi-Fi, je lui donne aujourd'hui l'adresse de mon serveur situé en « 10.0.1.xx ».
Il n'a jamais voulu croire que c'était une adresse locale, étant donné qu'elle ne commençait pas en « 192.168.xx.xx ». Et ce, malgré le fait que le routeur distribue bien une adresse en « 10.0.1.xx ». PEBKAC.
Je viens d'aller dépanner un collègue qui n'arrivait plus à se connecter à un serveur depuis un des ordinateurs portables mis à sa disposition.
Après un petit
ipconfig
de rigueur, il m'a suffi d'appliquer une légère pression sur le RJ45 qui à émis un « clic » sonore.
Oui, il est important d'enfoncer les RJ45 jusqu'au bout, cher collègue ! J'ai attendu d'être sorti de la salle pour rire. PEBKAC.
Trouvant la connexion à un NAS trop lente, un collègue a décidé de brasser lui-même sa prise RJ45 dans l'armoire de brassage, sans en parler au service compétent (autrement dit, moi-même).
Résultat, il a déconnecté un câble du switch, au hasard, qui se trouvait être celui du NAS en question plus haut. La connexion ne risquait pas d'être plus rapide après ça.
C'est ce que j'appellerai le « Karma informatique »… et un PEBKAC.
Comme depuis toujours dans mon entreprise, la plupart des gens avec qui je travaille s'obstinent à dire « LA Wi-Fi » au lieu du réseau Wi-Fi. J'ai appris à vivre avec cette petite erreur quotidienne, mais une nouvelle cliente s'acharne et cumule.
Elle m'a en effet appelé pour un « problème de débit sur la Wi-Fi ». Il fallait fournir à cette dame « en toute urgence » un câble « firewire » pour qu'elle puisse « se connecter à la Wi-Fi par câble ».
Au final, il s’avérait qu'elle tentait d'envoyer un pièce jointe de plus de 8 Go via Outlook.
Désolé, mais cette fois même avec beaucoup de patience, voilà qui fait trop. PEBKAC.
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