Cours de réseau ce matin, nous analysons des trames ARP. L'intervenant refuse de croire que c'est une trame de broadcast, car ça n'existe pas. L'adresse MAC de destination est pourtant bien « FF FF FF FF FF FF ». PEBKAC.
En cours de réseau aujourd'hui, exercice de calcul de sous-réseaux. Nous devons utiliser le réseau de classe C « 1925.20.0.0/24 », qui aurait été soi-disant accordé à l'entreprise fictive.
Difficile de calculer des masques de sous-réseau avec cette plage IP. PEBKAC.
Il n'y a pas si longtemps, j'ai eu a faire un TFTP (Trivial File Transfer Protocol) depuis un Windows vers un périphérique réseau dont on devait flasher la mémoire, afin d'en changer son système d'exploitation (passage vers OpenWrt).
Je me déplace donc à coup de
cd vers le bon répertoire, et essaie d'afficher les fichiers. C'est certain, la commande
ls ne fonctionne pas très bien sous Windows.
Pour mon incapacité à me souvenir de cette commande, mais aussi pour les développeurs de DOS et l'illogisme de la commande
dir : PEBKAC.
C'était un mardi, nous avions eu un souci réseau avec un prestataire le matin, qui nous avait assez joliment gâché la journée. D'un seul coup, nous avons une remontée d'alerte de différents serveurs : à priori une panne électrique dans un des locaux. Nos onduleurs ont pris le relais, nous allons donc regarder ce qui se passe.
Le local en question est situé proche d'une zone où ont lieu des travaux, mais le courant ne devrait pas être coupé. Et après vérification, le chantier est désert. Il y a de la lumière dans la salle, la climatisation fonctionne, mais trois des arrivées électriques (sur quatre) sont HS.
Après investigation, nous découvrons qu'en quittant le chantier, les ouvriers ont coupé le courant des bureaux ET du local technique (alors que l'étiquetage est très clair). Pourquoi trois de nos arrivées sont sur le même tableau électrique, mystère… (deux arrivées par tableau normalement, avec des tableaux géographiquement éloignés).
Il suffisait pourtant de savoir lire une affiche « DC-INFO – Ne pas couper ! ». PEBKAC.
Nous arrivons un mardi matin à la DSI avec les collègues (le lundi était férié), pour découvrir qu'il y a des problèmes de réseau. On vérifie sur le monitoring, tous nos serveurs répondent, tous nos switchs sont OK, pas de souci visible. Mais pourtant, pas moyen d'accéder à Internet.
On se connecte en SSH sur notre routeur de sortie, pas de souci, on ping Google. On vérifie les DNS, nos routes… Rien. On vérifie sur le routeur si on voit les paquets DNS passer, et… ils sortent bien, mais aucun retour. On effectue un test en changeant le routeur de sortie (clustering de routeur pour assurer une redondance en cas de panne). Ça fonctionne de nouveau pendant vingt minutes, puis tout retombe subitement.
On tente d'accéder à notre infra depuis l'extérieur : pas moyen. Notre prestataire contacté, celui-ci nous assure que chez lui tout va bien, qu'il n'y a pas de problème réseau, et que lui nous voit. On retourne donc farfouiller, sans résultat…
La suite ? Notre prestataire avait aussi attribué notre IP à une autre DSI. PEBKAC.
Étant à la fois "geek" et "gamer", je suis amené à utiliser les systèmes d'exploitations Windows (XP comme Seven), et aussi Debian. J'ai l'habitude de passer de l'un à l'autre sans souci particulier, et j'ai décidé depuis longtemps de stocker mes données personnelles sur un disque dur externe, afin d'y accéder sans encombre depuis n'importe quel système d'exploitation.
Le problème, c'est que mes amis joueurs ne comprennent pas pourquoi je passe une partie de mon temps sous Debian alors que j'ai aussi Windows 7. Et que mes amis "geeks" ne comprennent pas pourquoi j'ai encore un Windows.
Chacun vit dans son monde, pensant détenir la vérité absolue… PEBKAC.
Il y'a quelque temps, je parlais avec un collègue qui désirait changer de clavier et de souris, à cause d'ennuis avec ceux-ci. Étant d'accord avec lui à ce sujet (matériel dans une DSI ayant la même configuration que ceux des autres départements), je lui transmets quelques liens pour qu'il puisse faire son choix. "Gamer" dans l'âme, je lui avais suggéré mon ancien matériel personnel, qui fonctionnait très bien, mis à part quelques boutons programmables (problématique pour un joueur, mais fonctionnel sinon).
Mon collègue a refusé mes suggestions, non pas à cause d'un coût trop important (il est vrai que passer d'un clavier à 5 € pour un autre à plus de 50 € représente un investissement).
Non, il m'a dit : « Ces claviers sont prévus pour des joueurs et pas pour travailler. Donc, ça ne fonctionnera pas ».
Inutile de préciser qu'il bave devant mon clavier et ma souris, et les trouve d'ailleurs agréables à utiliser. PEBKAC.
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