Lorsque j'étais enfant, pour mon premier ordinateur (Windows 95, Pentium 120 MHz, HDD 1 Gio, RAM 16 Mio), mon père, qui manipulait sommairement un 386 sous DOS à son travail (et seulement le logiciel de gestion clientèle) m'avait expliqué une chose très importante :
Il ne faut jamais appuyer sur « Ctrl+Alt+Suppr » sous peine de « casser » l'ordinateur. Avec le recul, cet abus de langage volontaire me fait à présent sourire, mais à l'époque je pensais vraiment qu'appuyer sur ces touches cassait physiquement une pièce sur la machine.
Et je me demandais bien pourquoi les concepteurs de ces machines avaient laissé à la portée de tout le monde un tel bouton d'autodestruction.
Pour moi... PEBKAC.