Suite à la découverte de PRISM, mon oncle a décrété qu'il était parfaitement inutile de protéger son ordinateur (notamment avec un antivirus), car « on sera de toute façon espionné ». PEBKAC.
C'était le direct à la télévision de la première action de François 1er, le nouveau Pape. On peut voir que dans la foule, un nombre non négligeable de personnes ont préféré faire des photos avec une tablette plutôt qu'avec un appareil photo « standard », ou même un téléphone. Étrangement, la plupart semblent équipés d'iPad, du moins, c'est ce que j'ai cru voir.
Avec l'encombrement d'une tablette 10" (surtout au milieu d'une foule massive et agitée), les performances limitées du capteur (photos de nuit devant une façade lourdement éclairée, par terrible), l'absence de zoom optique... et une distance d'au moins 100 mètres entre les premiers rangs de la foule et le balcon (ceux qui étaient loin derrière ont dû s'amuser)... Chacun peut en penser ce qu'il veut, moi je dis : PEBKAC.
Mes parents ont un vieux PC à la maison qui ne remplit plus aucune fonction. Absolument aucune. Et ça fait bientôt un an que plus personne ne s'en sert.
Enfin si : mon père l'allume jusqu'à quatre fois par semaine (!), juste pour lancer manuellement une analyse antivirale et attendre devant l'ordinateur qu'elle se termine (bon, avec quand même le dernier numéro de Auto Moto pour passer le temps). PEBKAC.
J'étais à l'époque dans un lycée comptant plus de 2000 élèves. Et pour tout ce petit monde, seulement trois ordinateurs à disposition. Enfin... Il y en avait presque toujours un en panne pendant de très longues périodes (mais jamais le même). Embêtant.
Un jour, je vois une fille allumer l'un des ordinateurs, s'y installer, puis appeler la responsable. Je vois par-dessus leurs épaules qu'un petit rigolo avait mis l'affichage "tête-en-bas". Elles éteignent le poste tant bien que mal, et la responsable scotche sur l'écran une feuille indiquant "En panne".
Maintenant, je comprends. PEBKAC.
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