Et comment elle a fait pour se logger sur la même session ?

Déjà que le PEBKAC est moyen, si on le raconte n'importe comment...

"Un jour, ma mère, elle s'est loggée sur la mauvaise session. PEBKAC".

*mauvaise*

En fait, "toutes les sessions sont sans mot de passe, n'importe qui peut se connecter sur n'importe laquelle", PEBKAC.

Bof... j'ai jamais mis de mot de passe sur les PC de la maison...

Je ne peux pas te dire, je n'ai pas de "PC de la maison", il n'y a que "le mien" et "pas le mien" :P

Elle a simplement deux sessions sur son pc : une qu'elle n'utilise que pour le travail, et une autre pour ses activités personnelles.
Alors désolée de l'avoir "raconté n'importe comment", je ne pensais pas avoir à justifier quelque chose d'aussi simple...

Et ce qui m'avait marquée à cette époque c'était son état de panique : elle se voyait déjà avoir perdu toutes ses données, avoir été piratée, ou je ne sais quoi. Alors qu'une toute petite vérification, pour elle qui avait l'habitude de passer d'une session à l'autre, lui aurait épargné ça!

Tu aurais du préciser ce détail :)
effectivement si en plus les deux sessions sont à elles, l'erreur n'en est que plus ridicule. Si la deuxième session est à elle, elle devrait la reconnaître facilement.
Pour lui faciliter la tâche, mieux vaut mettre un wallpaper différent pour les deux sessions.

Et qu'est-ce que la maison ferait d'un PC, aussi?

C'est pas le manque de détail que me chagrine. C'est juste la façon de raconter qui enlève le peu d'intérêt qu'il y avait à l'histoire. Déjà, que quelqu'un se trompe de session, c'est pas vraiment le PEBKAC du siècle (euphémisme), mais en plus, si tu le raconte comme l'exemple que je donnais ("Un jour, ma mère, elle s'est loggée sur la mauvaise session. PEBKAC") (hyperbole), ça pèche encore plus.

Enfin, ça n'est que mon avis, hein.