Quand mon collègue arrive en réunion, une fois ses bloc-notes et ses feuilles sorties, il parachève son installation avec l'iPad du service. Pour déverrouiller l'écran, il tourne la machine en mode portrait, bien à la verticale, la secoue un peu pour que l'écran pivote, puis avec soin, déverrouille l'écran par l'habituel système de glissé du doigt. Si l'écran ne pivote pas, il nous sollicite pour voir ce qui ne va pas, vu qu'on a « sûrement touché à un truc ».
Une fois l'écran déverrouillé, il repose l'iPad sur la table, au format paysage (en le secouant au besoin pour re-pivoter l'écran), de sorte de le placer en mode de consultation, sur le rabat de la pochette. Installé ainsi, si l'écran se verrouille, il ne refait pas l'opération décrite ci-dessus, mais utilise le système de déverrouillage tel qu'il se présente.
Et à quoi lui sert cette machine destinée à nos tests qu'il trimbale dans toutes les réunions ? À faire beau devant lui, ou à traîner sur Internet en cas d'ennui. PEBKAC.