Un éditeur nous a envoyé la documentation complète de son logiciel.
Elle est rédigée intégralement en Comics Sans MS. PEBKAC.
Un utilisateur VIP disposant d'une tablette tactile nous a demandé de mettre un mot de passe pour le déverrouillage de l'écran, « par mesure de sécurité », ce que nous avons fait. Sauf que pour ne pas l'oublier, il l'a écrit sur un Post-it, collé dans la pochette de la tablette. PEBKAC.
J'installe Windows Server 2012, et le configure pour stocker et partager des fichiers. Après un quart d'heure, je constate que mon transfert avec un autre PC s'est interrompu, et que le serveur est en train de redémarrer.
Un coup d'œil dans les logs me montre que le responsable est le gestionnaire de mises à jour, qui a redémarré automatiquement le serveur… PEBKAC.
Aujourd'hui, alors que je cherchais une information sur le Web, je suis tombé sur un topic où l'utilisateur explique qu'il s'est fait « hacker son adresse IP ». PEBKAC.
Aujourd'hui, j'ai jeté un œil aux commentaires sur l'application VLC sur Android, qui est en stade Beta.
Beaucoup d'utilisateurs ont mis "zéro" pour son manque de stabilité et de performances. PEBKAC.
Une utilisatrice m'appelle en urgence, car elle a perdu une archive dans Outlook 2010. Je prends la main à distance et constate que l'archive est bien là, mais que son arborescence est simplement repliée.
Après un clic sur la petite flèche, l'utilisatrice a retrouvé ses données. PEBKAC.
J'interviens sur le PC d'une utilisatrice pour un problème d'Outlook 2010. Quelques minutes plus tard, elle me rappelle en disant qu'elle n'a plus le bouton "Nouveau message".
Je me connecte donc, et lui explique qu'elle doit cliquer sur l'onglet "Accueil" en haut, pour retrouver tous ses boutons. PEBKAC.
Le site internet du FAI au nom du fruit ne permet pas de tester l'éligibilité d'une ligne si le visiteur est logué. Or cela est automatique (par IP), et il est impossible de se déconnecter. Donc pour tester l'éligibilité de la ligne, j'ai dû utiliser un proxy. PEBKAC.
Un utilisateur change d'ordinateur et nous devons lui installer un logiciel, pour lequel nous payons une licence et un contrat de maintenance.
Nous constatons rapidement que le logiciel ne fonctionne que si l'utilisateur est administrateur de sa machine. Nous appelons donc l'éditeur pour obtenir de l'aide.
Il nous explique alors qu'effectivement, il faut que l'utilisateur soit administrateur, et qu'il n'y a pas d'autre moyen. C'est comme ça. Bienvenue dans les années 90... PEBKAC.
Un utilisateur m'annonce qu'il a effacé par mégarde des fichiers sur un lecteur réseau. Je lance donc une restauration à partir d'une sauvegarde, et l'utilisateur me demande : « Pourquoi ça n'est pas plus sécurisé que ça ? ».
Je lui explique donc qu'à partir du moment où il dispose du droit de modification sur la ressource, il est responsable des manipulations qu'il fait. Il rétorque : « Oui mais quand même, on n'est pas à l'abri d'une connerie !... ».
Je lui ai dit qu'il n'existait pas de logiciel pour sécuriser les systèmes contre les conneries. PEBKAC.