Mon voisin a trouvé une solution personnelle pour gérer ses spams : il les imprime tous (et en couleur), et dès qu'il en a suffisamment sous la main, les expédie par colis à son fournisseur d'accès accompagnés d'une lettre indignée demandant de cesser leurs envois. Il appelle ça « le retour à l'envoyeur ».
Bien qu'il s'attriste que sa croisade personnelle lui coûte cher en papier, en cartouches d'encre et en timbres, il décèle tout de même au vu du nombre légèrement moindre de spams ces derniers jours, « qu'ils commencent à comprendre »… PEBKAC.