Outre le pebkac, personnellement le fait que ce monsieur loue sont "hôtel particulier" contre des "service" je m'inquiéterai plutôt du fait de le voir arriver déguiser en bébé géant pour le changer que du soucis avec javascript...

+1
Faudrait ptet mettre la brigade des mœurs [1] sur le coup.
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1/ Ça existe encore ?

Vous voyez le mal partout aussi...

C'est le 1er janvier ! Contentez-vous de grogner et de vous frotter les cheveux, comme tout le monde.

Ça me rappelle ce que m'avait raconté une connaissance concernant le site de TF1, sur lequel les bandeaux de pub étaient dénommés Piège à cons dans le code HTML.

Le javascript est utililsé coté client, ça n'est pas du backend :)

Il a ptet fait la même chose en javascript coté backend note, mais ça n'est pas ce que tu as vu.

La sale déformation : j'ai lu «Une de mes amis veut se logger dans Paris...»

Moi aussi, déformartion professionnelle sans doute :)

Dis carrément qu'on est irrécupérables.

Malheureusement, à Paris (et probablement dans d'autres villes où il est difficile de se loger), c'est courant, et il parait que ce n'est pas illégal (ou si ça l'est, c'est difficile à combattre car les annonces reviennent souvent... un peu comme bloquer un site web en interdisant le nom de domaine).

Difficile de dire si c'est légal ou non sachant t qu'il n'y a pas de juristprudence en la matière. La principale question est de savoir si le "bailleur" peut être considéré comme client ou comme proxénète, ou les 2 à la fois.
Si la loi pénalisant les clients passe il devrait bien y avoir moyen de calmer ce genre de porcs.

Vu qu'il n'y a pas de contrat entre les deux parties... Officiellement le mec héberge généreusement la jeune fille, qu'il présente comme sa copine. Et si elle refuse de fournir les "services" en question il peut la jeter dehors, puisqu'elle n'a pas de bail.
Après l'annonce ne détaille pas les "services" dont il est question (ou alors il est très con), donc officiellement le mec te dira qu'il s'agit de faire le ménage, la vaisselle ou n'importe quoi de nature non sexuelle.
Et vu qu'il n'y a pas de tarification de l'acte, pas sûr que ce soit assimilable à de la prostitution (y a-t-il un avocat dans la salle ?).

@Lionel
Je peux me tromper mais pour qu'il soit considéré comme proxénète, il faudrait que les services rendu le soient à d'autres personnes que le bailleur, et que le bailleur touche quelque chose contre ce service.

En écrivant ça, je me rend compte que ce que je décris c'est aussi ce que fait une boite d'intérim ou une SSII (proposer une personne pour un service en échange d'argent)

Oui, il fallait probablement comprendre backoffice.

Hahaha...
Soyons honnêtes, 82% des couples fonctionnent sur le modèle sexe contre services (appart, resto, voiture, vacances, loisirs...)